
Strange meeting in an empty space - video
Strange meeting in an empty space - video
Cette video est le fruit d’une rencontre marquante dans un cadre exceptionnel à la lisière du parc national d’Ordesa (près de la ville de Huesca, dans le Nord de l’Espagne, où s’est déroulé un workshop Park in progress en 2013), celle qui s’est tissé entre les artistes ayant participé à Park in progress, Stéphane Kozik, Julia Hadi et une dizaine d’artistes d’Espagne et d’Europe, avec le festival Periferias comme amplificateur.
Stéphane Kozik s’est aventuré sur une aire où se regroupent les vautours, y installe des capteurs et des caméras afin d’imaginer une performance avec la danseuse/chorégraphe hongroise Julia Hadi. Spécialiste de la création sonore réalisée à partir de captations in situ, Stéphane Kozik se confronte au caractère sauvage et inquiétant de ce rassemblement de 500 vautours pour évoquer les mythes que véhicule cet oiseau. Un temps unique d’expérimentation et d’échange pour cette édition spéciale de Park in progress, dont les réalisations ont été présentées dans le cadre de Periferias, consacré cette année-là à L’horreur.
Zaki Jawhari
Artiste multimédiatique, plasticien sonore, musicien diplômé d’Arts2, Stéphane Kozik travaille essentiellement sur des installations interactives, des performances audio-visuelles et musicales. . .
Sa démarche se veut pluridisciplinaire, sensible, sensorielle, poétique et ludique. Il est co-fondateur du collectif multimédiatique Livescape et du duo Digital Breakfast (avec Arnaud Eeckhout).
Il mène également un trajet de musicien électro et collabore avec les danseuses hongroises Julia Hadi et Virag Arany ainsi qu’avec Damien Peron pour le projet Bodyscape (lauréat du projet européen Park in progress présenté à Mons à City Sonic 2013).
Julien Poidevin
Issue de l’Ecole de musique (spécialité flûte), de l’Ecole de danse classique et de l’Académie de danse contemporaine de Budapest.
Elle constitue un collectif avec quatre artistes Hongrois notamment Andras Juhasz, lauréat des Park in progress Saint Cloud, Nottingham et Pannonhalma. Ensemble, ils produisent des spectacles transdisciplinaires singuliers et étonnants, dans lesquels l’espace est appréhendé.
A travers un système de captations audiovisuelles retransmises en temps réel, elle se sert du son comme projection de ses mouvements pour envahir et prolonger l’espace.