Christophe Bailleau (Be)

Christophe Bailleau (Be)
3 août 2016 Transcultures

Bye Bye MonSonic - le 25 septembre

Après une dernière visite guidée, la clôture de City Sonic@Mons, une scène de concerts attend les curieux et les participants du festival dans un cadre bucolique, avec des créations live, entre autres, de 11:60 (Christophe Bailleau + Didié Nietzche, paysages électro cosmiques), Ze Zorgs (Stephane FedeleMaurice Charles JJ, Pierre-Jean Vranken), Isa Belle (Cristal Shower, douche de vibrations essentielles) et enfin Supernova (Paradise Now/Philippe Franck Gauthier Keyaerts – post pop, poésie sonore et électro matiériste) + City Sonic Sunday drink.

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11:60

11:60 est un duo électronique réunissant Didié nietzsche et Christophe Bailleau, produisant l’essentiel de sa musique à partir de synthétiseurs de type analogique. Improbable chaînon manquant entre Tangerine Dream et les Fuck Buttons, laissant une grande part à l’improvisation, le groupe a choisi délibérément de ne faire appel à aucun système de synchronisation, laissant  des motifs se créer et se défaire au gré du hasard.

Une cassette du groupe sortira bientôt sur le label américain Sacred Phrases.

Christophe Bailleau

Artiste pluridisciplinaire, Christophe Bailleau développe depuis plus de 15 ans un projet musical atypique. Ses compostions reposent sur des sources acoustiques (guitare, percussions, bruits de voix) triturées et mélangées à des sons concrets et domestiques.

Il conçoit ainsi un jeu sur l’attente, le silence et la tension orageuse. Depuis 2004, ses compositions sont éditées sur différents labels européens (Le cri de la harpe, Stilll, Carte postale, Eglantine, Annexia, Fenetre, Soundscaping, Optical Sound…).

Il réalise aussi un travail de poésie sonore destiné aux radios et aux installations. Quand Christophe Bailleau se mue en «DJ Belle Jeunesse», les platines n’ont qu’à bien se tenir… Un mix où le mot éclectisme prend tout son sens : du minimal au transversal, du groovy au cosmique, de l’incongru à l’ingénu. «Belle Jeunesse», jamais là où on pourrait s’y attendre, nous prouve que l’on peut penser et danser.

Enfin Christophe réalise des courts métrages intrigants et poétiques, enregistrant des moments perdus, avant ou après une action. Un DVD de ses courts films d’avant 2008 et édité par 68/70 (Bruxelles), et ses mêmes films ont été montrés dans de nombreux festivals européens (Rotterdam, Argos, City sonic….).